Focus sur Anaïs Cadier, Directrice de la Maitrise d'Ouvrage Publique pour l'Etablissement Public d'Aménagement Euroméditerranée.
Lundi matin. A 8h45, Anaïs Cadier arrive en vélo électrique à son bureau de l’Astrolabe, après avoir déposé ses enfants à l’école. Pour démarrer la semaine, réunion avec l’équipe de sept personnes du service maîtrise d’ouvrage qu’elle dirige. L’occasion de faire le point sur les chantiers en cours et d’arbitrer les points de blocage entre les différents partenaires.
A 10h30, Anaïs consulte ses mails. « Nous gérons un budget annuel travaux de 26 millions d’euros. Chaque conducteur d’opération constitue une petite PME à lui tout seul. Il coordonne le travail de dizaines de partenaires », relève-t-elle. Après avoir rédigé ses réponses, la directrice de maîtrise d’ouvrage effectue un point rapide avec la direction générale, les directeurs de services de l’établissement public et la direction du budget, antenne de Bercy au sein de l’EPAEM.
A 11h00, nouvelle réunion, mais cette fois avec les maîtres d’œuvre, architectes, paysagistes, bureaux d’études pour caler les projets en cours. « En ce moment, nous consacrons beaucoup de temps au parc Bougainville et aux Fabriques. Nous travaillons avec les services de la ville et de la métropole », indique Anaïs Cadier.
A 12h45, déjeuner au sein de la salle de restauration de l’établissement. L’occasion d’un échange plus détendu avec les collègues de bureau. 13h30. Retour au bureau pour signer les marchés et autres nombreux documents administratifs qui jalonnent le quotidien du maîtrise d’ouvrage.
« Je suis à la tête d’une direction dépensière. Mais tous les marchés sont strictement contrôlés par Bercy », précise Anaïs.
A 15h00. La technicienne met son casque. Direction les chantiers. L’occasion de rencontrer les entreprises qui réalisent les travaux..., mais aussi les habitants et les techniciens des collectivités gestionnaires des espaces publics. « Les habitants ont parfois du mal à identifier leur interlocuteur. Nous devons nous rendre visible et les écouter ».
A 17h00. Retour au bureau, pour une ultime réunion sur les risques inondation avec la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM). « Ce sujet crucial impose de concevoir différemment l’espace public », note Anaïs.
A 19h00. Clap de fin. L’heure d’enfourcher le vélo et de retrouver ses enfants. « Le matin, c’est moi qui les dépose à l’école. Le soir, c’est mon mari... ». L’organisation... toujours !
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